vendredi 24 octobre 2014

133*

Je reprends le cours de ma réflexion d'hier.


Qui suis-je? Où vais-je?

Non, sérieusement, je suis en train de me réapproprier beaucoup de choses. Je re-fais des choses qui sont bonnes pour moi, et je m'oblige à faire des choses, pour qu'elles deviennent des habitudes, car je sais qu'elles sont bonnes pour moi. Elles entraînent une satisfaction, un bien-être physique et/ou psychologique, et honnêtement, je me porte bien mieux.

J'ai recommencé à travailler.

Enfin, je n'ai jamais cessé de travailler, mais j'avais arrêter de placer mon job en priorité. Erreur. Le taf, c'est mon ADN. J'ai toujours été une bosseuse acharnée. D'abord, parce que je n'avais pas le choix, à la maison, c'était comme ça (mon père avait fonctionné ainsi toute sa vie, avec ma mère ils ne voyait pas comment il pourrait en être autrement), et puis très vite parce que j'ai aimé ça, et que j'ai compris que cela pouvait être la Voie de la Paix et de l’Émancipation. Du coup, j'y ai pris goût, et dans mes premières années professionnelles, ce fut mon seul loisir. Je ne me définissais QUE par le travail. Bon, j'ai toujours beaucoup lu, un peu écrit, et je n'ai jamais laissé tomber le cinéma, mais disons que je me réalisais pleinement avec mon boulot, et que ces dernières petites choses me permettaient de ne pas m'ennuyer pendant les vacances.

Et puis nous avons acheter une maison. Avec des travaux. Et les enfants sont arrivés. Et moi aussi j'ai eu envie de m'intéresser au maquillage/à la couture/au tricot/à l'aquarelle/à la photo/à la cuisine. C'est vrai, ça, c'est complètement naze, de ne penser qu'au boulot. Passionnée par son job??? Nan mais allô, quoi! Hein, instit', en plus!!!

-__-

Petit à petit, je me suis vidée de moi-même (je vous interdit de rigoler, pour ces derniers mots, mais aussi pour ceux à venir, merci). Mon job me satisfaisait toujours, mais... voilà, c'était juste mon job. La dingo branchée taf 7/7 avait fait feu. J'étais donc prête pour me remplir avec LE RESTE. La Vraie Vie, quoi.

Les loisirs. Et à ce niveau, je suis une touche-à-tout de génie. J'ai un master en dilettantisme, même. Je ne vais pas passer mon temps à cracher dans la soupe, j'ai passé du bon temps, et j'ai fais de chouettes découvertes. Mais je ne me suis pas découvert de talent (à part celui de pouvoir claquer plein de sous), et j'ai accumulé déceptions et frustrations.

Triste constat.

Je prends du recul depuis quelques mois déjà, et la rentrée est arrivée. Nouvelle école, nouvelle fonction. Je me lance dans le boulot à corps perdu, j'ai un mari à mes côtés qui me permet de m'éclater dans mes nouvelles responsabilités sans culpabilité.

Et j'aime ça. J'ai l'impression de redevenir moi-même. Ça me fait un bien fou. Je retrouve ma trilogie du plaisir (bosser/lire/dormir), et le reste du temps je le consacre à ma famille, et à la maison. Je suis allée au ciné coup sur coup, deux soirs de suite. Et ce week-end, on a des amis à manger.

J'ai encore plein de choses à dire, sur ce "changement de vie". Parce que pour moi, oui, c'est un changement. Mais j'ai déjà assez passé de temps devant mon ordinateur.

Xoxo.

jeudi 23 octobre 2014

132*

Je dirais bien que ça commence à aller mieux, mais... je ne veux pas aller trop vite. Alors la démonstration ci-dessous est peut-être à nuancer.


Réguler, voir stopper sa consommation frénétique, se retrouver maître de ses dépenses et occuper un statut de consommateur responsable, c'est ce à quoi j'aspire depuis quelques (deux, trois?) années déjà. Ça me rend dingue de voir que je suis obligée de faire de l'introspection pour parler de ma consommation, mais voilà, c'est comme ça, et ce petit coin de Toile est un élément comme un autre de cette plongée en moi-même.

Je n'ai pas toujours consommé en excès. Ce n'est pas dans mon éducation, et mes premières années d'émancipation étaient plutôt sobres, compte tenue de ma situation financière. Cependant, pour être tout à fait honnête, le terreau était là : le plaisir de la dépense, de l'achat cher (rouge à lèvre Lancôme à 16 ans), et comme c'était super-mal vu à la maison, je camouflais toutes mes emplettes interdites (paye ton plaisir, tiens...).

Tout a dérapé au cours de cette petite décennie (2006 2014), au cours de laquelle de grands changements personnels se sont couplés à des changements professionnels le tout mâtiné de changements physiques et métaphysiques comme la naissance de mes enfants, sur fond d'avènement d'Internet.

Aujourd'hui, j'ai pris du recul, mais le contrôle de ma consommation est devenu un élément de ma vie important. Un peu comme un hobby, en fait.  Mais ça va, ça me plait. Ce n'est pas évident de classifier ça comme "Centre d'intérêt", mais je ne vois pas où je pourrais le ranger d'autre. Du coup, j'en prends soin, de mon hobby. Je blogue dessus, j'y pense lorsque je cours, avant de m'endormir. Il y a juste que je ne sais pas comment le nommer. C'est un mélange de rehab, mais j'essaye aussi d'en faire un mode de vie, tout en faisant en sorte que ça reste discret. Je ne suis pas "passionnée de shopping", ni "passionnée de mode", ni "addict au fringues/au make up", mais j'adore mes vêtements, j'adore me lancer dans une chasse, ou porter un rouge à lèvres bien rouge.

Pfuit... ce billet est vraiment bordélique. En fait je voulais parler de comment j'avais trouvé du plaisir ces dernières semaines alors que je n'ai quasiment pas dépensé. Pas d'envies, rien.

Bon ben je n'ai plus qu'à revenir.

Xo.

mercredi 22 octobre 2014

131*

Ca y est, je suis repassée par la case "coiffeur".

Bon, je ne suis pas très bonne en selfie.

Ah lala, je l'attendais, ce rendez-vous, depuis trois semaines au moins. J'étais arrivée à la longueur moche, celle qui veut rien dire, qui n'a pas de personnalité, celle qu'on ne peut pas attacher. Et puis il a commencé à pleuvoir, et comme j'adore sortir la tête couverte, ces longueurs qui rebiquaient sous mon chapeau de pluie ont sonné le glas de mon projet de repousse.

Et je le dis bien fort : C'EST TER-MI-NE. Point final, la repousse, c'est fini. Je suis cette brunette à cheveux courts. Oui, c'est mon nouveau moi, je l'habite enfin. Florian, mon coiffeur, y est allé un peu plus fort que la dernière fois, mais c'était à ma demande, et j'avais envie de repousser mes limites. Je suis cependant restée sur mon envie de départ, "un court un peu long avec de la matière dessus et derrière". Un truc que je peux coiffer-décoiffer à l'envi, un truc qui se place avec un côté un peu rock quand même.

J'ai eu ce que je voulais, et la vie est belle. Depuis cependant, certaines petites choses ont changée.


Mon mari boude. Mes enfants, non. "OOoohh (coeurs dans les yeux de mon aîné) belle coupe Maman!"

J'essaie un nouveau produit coiffant : la crème de coiffage Morrocanoil. Il sent hyper bon, mais je reviens sur ce sujet (ne dévoilons pas tout).

J'ai sorti mes accessoires "coupe courte" : le lipstick bien rouge (n°999 de Dior, mon préféré), et mes Wayfarer.

Je peux porter mon chapeau de pluie, et mon bérêt (force 8, hier, le chapeau ne tenait pas, j'ai sorti le bérêt).

Je porte mes lunettes de vue plus rondes.

Par contre, je trouve qu'il est plus difficile d'arborer une bare face avec une coupe courte. Alors je suis en train de repenser ma routine make-up, et de mettre au point un nouveau maquillage des yeux.

Voilà, une bonne chose de faite. Maintenant, il faut que je m'y tienne. jesuisunefilleàchop jesuisunefilleàchop jesuisunefilleàchopjesuisunefilleàchop

Xoxo.

lundi 20 octobre 2014

130*

Et pourquoi pas un slim en velours rose?
Hein, pourquoi pas?


Quand j'ai vu sa couleur et ses petits détails, j'ai eu envie de lui. Quand je l'ai passé, je me suis dit "adopté!". Il est confortable, doux, son velours a des petites rayures, et le rose est juste parfait. Je n'aurais pas pensé porter ce genre de couleur, mais il va avec tellement de chose dans ma garde-robe.

Un chouette achat, un chouette achat d'automne.


C'est un plaisir, de faire à présent du shopping dans ces conditions. Je chéris toujours autant les pièces achetées, j'ai un regard vraiment critique sur l'à peu près, et je prends le temps de choisir, d'essayer si je peux, et de renvoyer si je ne suis pas du tout convaincue.

Bien, bien, je crois avoir bien avancée dans mes achats de l'automne..

Xoxo.

mardi 14 octobre 2014

129*

C'est un temps à Barbour, isn't it?


Hier, c'était tempête sur la ville, un temps idéal pour sortir ma Barbour du placard. Pluie, vent, slim et bottines, une conjonction d'éléments positifs.

Aaaaahhhh, ma Barbour. Dieu comme j'en ai rêvé, de cette parka. Et puis, il y a deux ans, elle est arrivée, juste après les fêtes de fin d'année. Une grosse dépense. La dernière de ma période compulsive, d'ailleurs.

J'ai un rapport assez contrasté avec cette veste. Si j'ai acheté le modèle Bedale, classique de chez classique, je pense qu'en étudiant davantage la question j'aurais gagné à acheter le modèle Utility. Plus cintrée, plus courte. Bon, je me dis que plus tard, je pourrai céder ma veste aux garçons, et m'offrir le modèle plus féminin. Je suis diabolique, hihihi.

En attendant, à chaque fois que je la porte, je l'adore :son amplitude, toutes ses poches. Et puis c'est ma Barbour, quoi (il paraît d'ailleurs qu'on dit mon Barbour?)

Xo.

dimanche 12 octobre 2014

128*

Voici venu le temps des petits cachemires d'Edouard;-)


Je sais que tous les ans, à cette période-ci de l'année, E. Leclerc deale des pulls en cachemire pour moins de cinquante euros. L'an passé, c'était off, je n'en avais pas besoin, mais cette année, le timing est parfait : il me reste du crédit dans ma shopping list!

J'ai choisi les rayures noires et gris souris. J'aime beaucoup les empiècements aux coudes. Un achat nickel.

Bon dimanche!

Xoxo.

samedi 11 octobre 2014

127*

Je suis devenue complétement accro aux produits cosméto pour cheveux.


Ça ne veut pas dire que j'en utilise beaucoup, absolument pas, au contraire, mais c'est une nouvelle quête qui me passionne.

Le thème du jour, c'est le shampoing. Il y a deux ans, j'ai commencé à m'intéresser aux soins clean/bio, et j'ai découvert tout un potentiel de dépenses nouvelles jusque là inconnues. Jusqu'alors, mon shampoing trouvait sa place dans mon caddy entre le lait et la lessive, au mieux, ou alors les mois de liesse je m'offrais un Kérastase.

J'ai commencé par une course à la Biocoop de ma ville, et un flacon-pompe de grande contenance d'un lavant dont j'ai oublié le nom, mais qui a fait parfaitement le job. Et puis après, ben superficielle comme je suis j'ai eu envie de paillettes. Alors, j'ai laissé mes sous chez Christophe Robin, et puis chez Léonor Greyl. J'ai aussi testé une "version pauvre", chez Timoté (attention, je ne scrute pas les étiquettes, alors ce n'est peut-être pas kif kif, sans aucun doute, d'ailleurs), pour le jour où je trouverai ça complétement nul de lâcher autant d'euros dans un shampoing. C'est celui que j'utilise en ce moment, je le trouve même asse facile, il mousse bien, je masse donc moins consciencieusement mon cuir chevelu, ce qui n'est sans doute pas bien, mais c'est que je suis un peu lasse.

Samedi, je vais chez le coiffeur (hip hip hip, HOURRA!!!), et je me réserve le petit nouveau, à la lavande et au romarin de John Masters Organics, au packaging trop classe.

Les deux autres, c'est pour la couleur, que je n'entretiens plus que naturellement, et en fait je m'en fous un peu.  Vu que je ne fais plus de coloration chimique, je n'ai plus "d'effets racines", mes cheveux s'éclaircissent autour de mon visage, mais cela ne me gêne pas.

Mes cheveux vont bien, et cela est très, très reposant.

Xoxo.

mercredi 8 octobre 2014

126*

Ma peau se porte bien, et j'ai trouvé les produits qui me conviennent.



J'éprouve cette routine-du-visage depuis quelques mois déjà, et vraiment, je ne changerais rien. J'ai trop peur de bouleverser ce parfait écosystème, et cela correspond vraiment avec l'envie de minimalisme qui me guide puis plusieurs déjà.

Alors j'utilise toujours le soir la crème lavante Boréade de Noviderm, le soir, pour me démaquiller et me nettoyer le visage. Je n'ai pas -encore?- succombé aux sirènes du double nettoyage (un coup marketing?), je me maquille très peu, je trouve cela suffisant. Après le douche je me sens bien propre.

Ensuite, je mets soit rien du tout, soit une pression d'huile d'avocat mélangée avec une crème hydratante basique. Je ne le fais pas tous les soirs, juste lorsque je sens que ma peau tire un peu.

Le matin, je me réveille avec un coton imbibé de Créaline de Bioderma, et l'émulsion Cleanance de Avène. Et depuis peu, je mets un contour des yeux. J'avais besoin d'un soin plus spécifique pour cette partie du visage (alors que peut-être pas, au bout du compte, qui sait?), et l'huile d'avocat, achetée à la base pour cet usage, était trop riche.

En cadeau, lors de ma commande sur Mademoiselle Bio, j'ai reçu une eau florale à la rose Melvita.le week-end, lorsque je me mets en off, je pulvérise juste quelques pshits sur le visage pour commencer la journée.


Ça marche, aucune prise de tête et ma peau se porte bien. A bientôt 39 ans cependant, je m'interroge sur la pertinence d'un sérum. Je sais ma peau tâchée à certains endroits du visage, elle commence à marquer quelques rides et j'ai des cicatrices d'acné, mais... c'est cher, un sérum, et je me demande si le jeu en vaut la chandelle.

Surtout que je suis vraiment dans une démarche de "vivre avec moins pour vivre mieux". Du coup, je me demande si avec un sérum je ne vais pas créer un besoin. Pourquoi ne pas attendre? La peau capitalise-t-elle vraiment les soins qu'on lui apporte, en dehors de la protection et de l'hydratation?

En attendant, tout va bien. Je n'ai déjà plus d'acné, je ne vais pas commencer à me pencher sur mes ridules;-)

Xo.

dimanche 5 octobre 2014

125*

Ouais, tu parles d'un mouton noir...


Mon premier achat de l'automne a été un achat anticipé, mais totalement à contre-saison. Enfin pas tout à fait.

Tout l'été notre œil a été rincé à l'envi d'Arizona de Birk'. C'est curieux, en pleine saison cela ne m'a fait ni chaud, ni froid. Mes Birk' à moi, c'est les Madrid, ou les Gizeh et puis c'est tout.

En fait, à la base, je cherchais... des chaussons. Bon, je suis un peu une psychorigide du chausson. J'ai toujours préféré aux chaussons ce genre de sandales. Je me souviens même qu'il y a une petite vingtaine d'années, j'étais allée acheter, chez un vieux chausseur de mon bourg d'enfance, une paire de mules à lanières pour homme (à l'époque ça n'existait que chez les hommes, ce genre de chaussures) pour m'en servir comme chaussons. Et depuis, ça m'est resté. En été je les porte nu-pieds, et en hiver avec des chaussettes.

Début septembre donc, on pouvait retrouver le modèle Arizona, à des tarifs tout à fait corrects. J'ai commandé ma paire sur La Redoute, coloris Basalt. Elle est portée, archi-portée. Et je n'aurai sans doute aucun scrupule à les glisser dans ma valise pour Gâvres l'année prochaine;-)

Bon dimanche!

Xo.

samedi 4 octobre 2014

124*



Je n'aime pas ces blogs qui restent longtemps sans billets. On attend, on attend, on s'impatiente, surtout quand il n'y a pas de nouvelles parfois même on s'inquiète.

Un mois donc, sans billet, et pourtant, ce n'est pas l'envie qui m'a manqué, mais le temps, juste le temps.

Depuis le 1er septembre donc, j'ai changé de poste. Je suis enseignante dans une classe de maternelle, et chef d'établissement de ma petite école de trois classes. Et depuis le 1er septembre, je travaille. Voilà. Mon rythme est soutenu, et j'ai la chance de pouvoir beaucoup, beaucoup me reposer sur mon mari pour l'intendance, car je n'ai plus le temps de rien. Mon temps professionnel a phagocyté tout mon temps personnel.

Il me reste cependant mon temps de rêverie. Le soir -rapidement- avant de sombrer dans le sommeil. Encore un peu dans la voiture, le temps du transport. Et puis le temps de ma course à pied. Ben oui, parce que j'ai même laissé tomber la boxe, alors je m'astreint à deux sorties course à pied dans la semaine.

Et ce que je vous livre aujourd'hui, c'est un peu pêle-mêle ce à quoi je pense lorsque je courre.


J'ai rangé ma garde-robe d'été. Enfin, j'ai tourné la page, parce que cet été, je suis parvenue à mettre TOUTE ma garde-robe sous les yeux. J'en reparlerai -peut-être- un jour. J'en suis satisfaite. J'ai tout porté. Je pense que l'année prochaine je m'achèterai un beau Une-Pièce noir, mais pour le reste, ça roule.

Cet été, la question du no make up a pas mal tourné sur les blogs que je lis habituellement. C'est rigolo. Le no make up, pour moi, c'est un peu mon style de vie. Je suis venu sur le maquillage sur le tard, j'avais 34 ans. Bon, j'ai toujours eu un blush, un mascara et de la poudre, mais les achats ont vraiment pris de grandes proportions il y a cinq ans. Et j'ai toujours plus été intéressée par les packaging et les marques, par l'objet de maquillage, que par le rendu sur mon visage. Aujourd'hui, je me maquille tous les jours pour aller travailler, mais de manière ultra-minimaliste. Je trouve que cela m'éclaire. Par contre, je n'ai aucun problème à arborer ma bare face le week-end. Je m'y trouve dans la vérité de ce que je suis.

J'ai presque perdu tous mes petits kilos qui m'alourdissaient depuis des mois. En fait, j'en ai perdu trois sur quatre. C'est pas grand chose, mais j'ai constaté l'amélioration de ma silhouette, et cela me motive de davantage porter attention à ce que je mange. Et cela me pousse lorsque je trouve mes baskets très très lourdes;-).

J'ai pris rendez-vous chez le coiffeur. Pour le premier samedi des vacances. Oui, c'est terminé, le  rendez-vous au débotté chez le coiffeur, surtout que le week-end est bien occupé. Je tourne la page des cheveux longs. J'arrête de courir derrière mon passé. Et j'embrasse cette coupe à la fois longue et courte qui me change tellement la vie. Nous avons regardé dernièrement des vidéos familiales, et j'ai compris que les cheveux longs ne me rendaient pas plus belle. J'étais une autre, c'est tout, à un moment de ma vie qui est passé. Et aujourd'hui, j'ai envie de cette juste longueur, qui est facile à vivre, à coiffer, qui rentre sous mon bérêt ou matche avec mes Wayfarer.

Comme vous pouvez le constater, mes sources d'inspirations restent les mêmes. Je trouve toujours Michelle Williams absolument ravissante (courrez voir la dernier campagne Vuitton!). Et merci à Laure de L'armoire essentielle pour ce petit focus sur Jessica Chastain.

Voilà, c'est tout pour aujourd'hui. Je vais revenir très vite pour vous parler de mes derniers achats (c'est l'automne!), de ma routine-soin, de mes cheveux. Du fun de la vie, quoi!

Xoxo.