dimanche 3 novembre 2013

10*

Par quel post allais-je revenir... Voilà ce qui me trottait au bout des doigts à mesure que l'envie revenait.

Sur les produits cosméto-beauté de fou-dingos que j'ai découvert et essayé depuis ces derniers mois?

Sur ma passion toute neuve pour les boucles d'oreilles en laine bouillie ou en ivoire végétal?

Sur mes ongles que je ne parviens pas à laisser pousser?

Sur mes cheveux auxquels je tente de ne pas faire subir le même sort que les sus-nommés?

Bref, comme vous le voyez, en deux mois et demi, les sujets s'accumulent. Je ne vous noierai pas sous des carrés d'Instagram qui ne ferait que résumer assez misérablement d'ailleurs mes considérations et réflexions, donc je compte reprendre très sérieusement le fil avec vous.

Alors, TA-DAM, premier sujet :

♥mes toutes nouvelles chaussures (coeurs, coeurs, petites fleurs, gentils oiseaux et musique cucul)♥

 
 
Depuis que j'ai entrepris de rationaliser mes dépenses et d'optimiser mon dressing, chaque achat devient une expérience de plaisir intense. Je planifie le budget, et je pars à la chasse. Et lorsque je repère ma proie, je pense que quelque chose  se déclenche dans mon cerveau reptilien, et je crois sincèrement que dans ces moments-là je dois ressembler à une lionne chopant une petite antilope par le cou.

Bon, pour être honnête, ces bottines n'ont rien d'une paire d'antilopes. A vrai dire, je n'avais même pas prévu d'acheter des bottes pour cette  saison. J'avais plutôt l'intention de garder mes sous, façon fourmi, pour m'offrir une paire de Sorel lorsque la bise viendra. Mais voilà. Adriana de Spartoo m'a harcelée de mails pendant deux jours consécutifs (niveau de résistance de la meuf = DEUX JOURS = pitié), et j'ai fini par voir ces petites merveilles de la collec' de l'an passé me faire de l'oeil. Le temps de dresser une revue des tenues que je pourrais exploiter pour aller avec, d'évaluer leur potentiel de "chaussures de week-end" (déf. : paire de chaussures confortables et touchy qui ont la politesse d'aller avec au moins trois tenues, dont une pour sortir), et pis ben voilà, j'ai cliqué.

J'ai gémis de plaisir en ouvrant la boîte, et roucoulé de bonheur en les portant. Elles sont tellement moi que c'est pas Kickers qu'il y a écrit dessus, mais Gaëlle. Merci, Monsieur Kickers. Les années passent, et vous continuer à me donner du bonheur saison après saison.

Note : 85%  de la production de Kickers semble provenir d'Asie, alors que l'on pourrait s'attendre à une production européenne pour une paire de chaussures à 120 euros en moyenne. Un site belge fait mention d'un atelier bruxellois, mais ça m'étonnerait qu'il couvre l'ensemble de la production. J'ai aussi -et assez souvent- trouvé des avis négatifs portant sur des semelles qui se décollent (?!) ou des lanières qui lâchent assez rapidement après l'achat. La marque ne semble plus pouvoir revendiquer cette solidité transgénérationnelle qui a fait sa réputation. Pour ma part, nous sommes des fans inconditionnels de la marque aux pastilles rouge et verte. Et à ce jour, je n'ai jamais connu de déconvenues;-).

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